Que vogue
l'AVLL
Histoire & Fondation
Une association née de la collaboration entre acteurs lémaniques
Le 24 mai 1997, à bord du bateau de la CGN, le Vevey (1907), entre Evian et Lausanne, les présidents de diverses associations lémaniques réunis pour la première fois, ont décidé de se grouper en une association faîtière. L’Association Voiles Latines du Léman était fondée le 22 janvier 1998 au château de Saint-Gingolph.
Ainsi, la Fondation Neptune de Genève, la Confrérie des Pirates d’Ouchy et leur Vaudoise, l’association embarquement immédiat (qui deviendra l’association La Barque des Enfants) avec la future Demoiselle alors en construction à Vevey, l’Association des amis de la cochère l’AURORE, l’Association lémanique la galère LIBERTE et l’Association Mémoire du Léman avec la SAVOIE (FR), se sont regroupés en une nouvelle Association faîtière : « Voiles Latines du Léman » ; AVLL.
Pierrot Duchoud, fondateur du Musée des Barques de Saint-Gingolph et initiateur de la cochère Aurore, a accepté d’en être le premier président, secondé par Christian Fernex, vice-président, initiateur de la Savoie et William Franken comme trésorier.
Activités et tournant stratégique
De l'engagement communautaire à un changement de nom significatif
Le 12 mai 2001, la « Fête du plomb » organisée pour transporter le plomb du lest de la Barque des Enfants de Pully à Villeneuve, a réuni toutes les barques pour la première fois. Cette journée a montré l’extraordinaire potentiel touristique des barques réunies. Elle a donné naissance à deux manifestations nautiques importantes : « Léman Tradition » et « Coques & Notes » à Evian.
Hormis le plaisir de naviguer ensemble, l’AVLL décide de réunir les équipages une fois par année en mai en ouverture de saison. Dès 2004, à l’occasion des cent ans de la Neptune, cette réunion est devenue la « Régate du Centenaire ».
En 2021, l’association remplace le mot de « Léman » par « lacustre » et devient l’ « Association des voiles latines lacustres » afin d’accueillir l’Espérance III construite sur le lac d’Annecy. La même année, la Savoie décide de quitter l’AVLL.